E-agriculture

La Vallée du Sourou est une mine d’or pour le Burkina

Région à fort potentiel hydro-agricole et zone de développement prioritaire, la vallée du Sourou, après un quart de siècle d’existence, manque toujours de performances globales. Le rêve d’Alphonse Ouédraogo, nouveau directeur général de l’Autorité de la mise en valeur de la vallée du Sourou (AMVS), est de faire de cette vallée, "un pôle régional de croissance économique, basé sur l’exploitation du potentiel hydro-agricole et le développement durable des productions agrosylvopastorales et halieutiques". A l’image d’un médecin, il pose, dans cet entretien, le diagnostic, propose un traitement et fait un plaidoyer.

"Le Pays" : Vous héritez d’une vallée du Sourou qui est considérée comme une région de développement prioritaire pour notre pays. Quelle vision avez-vous ?

Alphonse Ouédraogo : La vision est quelque peu comme un rêve que l’on cherche pourtant à réaliser. L’image que nous avons de la vallée du Sourou, à moyen et long termes, est celle d’un pôle de croissance économique où les aménagements hydro-agricoles seront la remorque d’un véritable développement socio-économique. Il s’agit donc à terme, à l’horizon 2025, de "faire de la Vallée du Sourou, un pôle régional de croissance économique, basé sur l’exploitation du potentiel hydro-agricole et le développement durable des productions agrosylvopastorales et halieutiques"

Quels sont les objectifs et les axes prioritaires de votre plan stratégique pour le développement de cette vallée qui dispose d’un potentiel de 30 000 hectares aménageables ?

Le plan stratégique est en cours d’élaboration et sera proposé aux principaux acteurs de cette dynamique à construire, en fin 2009. Découpé en trois phases, de 2010 à 2015, ce plan stratégique s’exécutera en plans d’actions quinquennaux, 2011-2015 ; 2016-2020 ; 2021-2025 ; le premier étant précédé d’une phase préparatoire de 18 mois, de juillet 2009 à décembre 2010, où des activités comme la réorganisation de l’AMVS et des coopératives, le renforcement des capacités, l’actualisation du schéma directeur de la vallée du Sourou seront menées. Des plans d’actions quinquennaux seront mis en œuvre.

D’aucuns pensent que l’AMVS est un géant aux pieds d’argile, en proie à d’énormes difficultés. Est-ce votre avis ?

Je crois qu’il y a une mauvaise publicité autour de cette institution et de ce qu’elle fait dans la vallée. Il y a également une méconnaissance de nos missions et surtout des efforts quotidiens qui sont développés par les différents acteurs dans la vallée. A l’AMVS, ce n’est pas pire qu’ailleurs. Je rappelle que c’est suite aux sécheresses consécutives des années 1970, que l’irrigation a été retenue comme une option importante pour atteindre l’objectif de croissance durable de la production agricole. Ainsi, en 1984, il a été décidé de faire de la région du Sourou, région à fort potentiel hydro-agricole, une zone de développement prioritaire.

Quels sont les acquis capitalisés par l’AMVS de nos jours ?

De nos jours, l’AMVS compte, au titre des acquis, l’aménagement de plus de 3 800 ha de périmètres aménagés sur un potentiel estimé à 30 000 ha. Ces périmètres aménagés sont exploités en paysannat et en privé par plus de 3 000 producteurs organisés en onze coopératives agricoles, quatre groupements de producteurs, et dix sept entrepreneurs agricoles ou acteurs de l’agrobusiness. Toutefois, comme vous l’avez constaté aussi, la gestion des périmètres par les exploitants paysans pose d’énormes problèmes du fait de la faible maîtrise des fonctions techniques, économiques, organisationnelles et institutionnelles par les coopératives.

Dans la vallée du Sourou, les coopératives, regroupées au sein de l’Union des coopératives de la Vallée du Sourou (UCAVASO) n’échappent pas à cette situation qui entraîne des conséquences négatives parmi lesquelles on peut noter la mauvaise gestion du tour d’eau qui engendre des charges additionnelles ; l’exploitation anarchique des stations de pompage ; le piratage de l’eau à l’intérieur des périmètres et les actes de vandalisme ; les difficultés de maintenance des infrastructures hydrauliques et de renouvellement des équipements ; etc. En outre, au terme d’un quart de siècle d’existence, l’AMVS se caractérise de nos jours par un manque de performance globale, nécessitant une intervention vigoureuse de restructuration. Un processus de réflexion interne sur les difficultés et contraintes a été amorcé, en vue de renforcer les capacités et d’améliorer les performances de la structure. Par ailleurs, l’AMVS hébergera très prochainement deux projets majeurs. Il s’agit du "Projet de développement agricole dans la Vallée du Sourou », financé par le Millennium Challenge Corporation (MCC) et le projet d’aménagement de 2 000 ha à Dangoumana, dont le financement est assuré par la Banque islamique de développement (BID). C’est pour optimiser la réalisation de ces projets et/ou la formulation de futurs projets, ainsi que la mise en valeur de l’ensemble des aménagements hydro-agricoles que le Plan stratégique de développement agricole durable de la Vallée du Sourou est en cours d’élaboration.

Ce Plan vise principalement à accroître la performance du sous-secteur de l’agriculture irriguée, relativement au potentiel agro-écologique et économique de la Vallée du Sourou, afin d’en faire un pôle de croissance économique du pays. Pour permettre à l’AMVS de porter cette dynamique en perspective, il faut réaffirmer l’autorité de l’institution et renforcer son assise matérielle et sa capacité d’intervention. Avant d’aborder le premier plan quinquennal du Plan stratégique, une phase de préparation de 18 mois couvrant la période de juillet 2009 à décembre 2010 est envisagée pour mettre à plat les difficultés de tout ordre qui minent l’institution. Entre autres activités de préparation, je citerai la réorganisation institutionnelle et la redynamisation de l’AMVS ; l’audit et la redynamisation des coopératives qui demeurent les principaux partenaires de l’AMVS ; la réactualisation du schéma directeur d’aménagement de la vallée ; etc. Concernant particulièrement les producteurs au niveau du rendement, toutes les observations ont montré qu’il n’y a pas de satisfaction. Les résultats ne sont pas à la hauteur des attentes, en témoignent les passages en 2008 du Premier ministre et du ministre de l’Agriculture, de l’hydraulique et des ressources halieutiques.

Quelles sont les dispositions prises pour en finir avec cette situation ?

Les maux dont souffre la Vallée du Sourou sont les mêmes que l’on vit sur la plupart des grands et moyens périmètres du pays. En effet, avec le désengagement de l’Etat de la gestion des périmètres irrigués à partir des années 90, un processus d’autonomisation des organisations paysannes a été amorcé. Cependant, comme vous le savez bien, le secteur associatif, principalement les coopératives, les groupements, les associations, les groupements d’intérêt économique, etc., montre des problèmes structurels et a besoin d’être assaini et réorganisé. Outre ces aspects formels, la gestion des périmètres irrigués exige que les règles strictes soient appliquées, comme le respect du tour d’eau, le paiement des redevances, l’entretien des équipements, la gestion des fonds, etc. Cependant, de réelles possibilités d’amélioration de cette situation existent aujourd’hui, d’autant plus que ces périmètres ont été, par le passé, performants durant de longues années.

Il s’agira de faire face aux raisons de la dégradation des performances de l’irrigation à la fois institutionnelles et physiques, de s’engager résolument à assainir les coopératives et de repartir sur des bases saines. Le retour de l’encadrement de l’Etat sur les périmètres irrigués, amorcé ces deux dernières années, répond à ce souci. Ainsi, sur instructions du gouvernement et par décision de son Conseil d’administration, la Direction générale de l’Autorité de mise en valeur de la Vallée du Sourou (AMVS) a déménagé à Niassan depuis janvier 2009. Cette décision vise à rapprocher davantage les structures techniques des producteurs et à renforcer l’encadrement et l’appui conseil à leur profit, dans l’optique de garantir une exploitation rationnelle et optimale des périmètres aménagés et y accroître de façon durable les productions agrosylvopastorales et halieutiques. En outre, l’organigramme de l’AMVS a été révisé, afin de l’adapter aux préoccupations des acteurs et d’améliorer les performances de la structure.

Le rendement du riz sur vos périmètres est de 3 à 4 tonnes à l’hectare alors qu’on a la possibilité d’atteindre 7, voire 8 tonnes à l’hectare. Qu’envisagez-vous pour corriger ce manque à gagner ?

Il n’y a pas de secret. Pour atteindre de telles performances, il faut appliquer rigoureusement les itinéraires techniques de production et intensifier la fertilisation minérale et organique. Tout naturellement, l’utilisation de semences améliorées est de mise. Les périmètres du Sourou constituent ces sites de vulgarisation et d’expansion du Programme de gestion intégrée de la production et des déprédateurs (GIPD). Nous avons la chance d’avoir dans la Vallée, à Di, le Centre régional de l’environnement et de recherche agricole du Nord-ouest, spécialisé dans la recherche sur les productions irriguées. Ce centre sera un partenaire de l’AMVS pour spécialiser la Vallée en production de semences de base et de semences certifiées de spéculations céréalières et maraîchères ; également pour mettre au point et diffuser des techniques performantes de production irriguée.

Dans les perspectives, vous envisagez d’aménager 5000 hectares. N’y a-t-il pas une contradiction avec la vision du Premier ministre qui estime que les grands aménagements posent de véritables problèmes de gestion ?

Son Excellence a certes raison. L’aménagement des grands et moyens périmètres est aujourd’hui coûteux, surtout quand on y ajoute des infrastructures socioéconomiques, éducatives, sanitaires, etc. On arrive facilement dans ces conditions à des coûts supérieurs à 10 millions de FCFA par hectare. A ce coût, il est extrêmement difficile de rentabiliser ces investissements avec le paysannat sur ces périmètres. C’est la raison pour laquelle, on tente aujourd’hui de promouvoir l’investissement sur ces grands espaces de production et de développer parallèlement les aménagements à faibles coûts dans les terroirs villageois pour les communautés et les petits investisseurs privés. Remarquez cependant que les aménagements de riziculture pluviale sont généralement sommaires, saisonniers et à maîtrise partielle de l’eau. Ces aménagements peuvent être définitifs en les consolidant avec des ouvrages structurants et stables (digues et diguettes enrochées ou construites en béton). Par contre, le dispositif d’irrigation sur les grands et moyens périmètres est à maîtrise totale et permet de sécuriser la production pour peu que les besoins en eau de la culture soient mis en adéquation avec la ressource disponible. Les grands périmètres sont hautement rentables si on pratique un système de production qui allie production alimentaire et production commerciale et qui intègre toute la dimension agrosylvopastorale. C’est pourquoi depuis quelques années, l’Etat tente d’y promouvoir l’investissement privé ou agrobusiness.

Une chose est d’aménager, une autre est de mettre en valeur. Sans rigueur, toute action produit des résultats médiocres. Des garde-fous contre l’indiscipline ont-ils été pris dans cette perspective ?

Vous avez raison, le plus difficile est la mise en valeur des périmètres irrigués. L’aménagement est essentiellement un travail physique et matériel exécuté sur la base d’une conception technique. En d’autres termes, si l’on s’assure de la fiabilité de l’étude et des travaux, on peut être certain d’obtenir un aménagement techniquement fiable également. Rentabiliser cet investissement dépend maintenant de comment on exploite cet aménagement. En effet, la mise en valeur fait recours à l’organisation et à la formation des exploitants, à l’optimisation de la production en termes de qualité et de quantité, d’intensification et de diversification ; à la valorisation de cette production, notamment sa conservation, sa transformation et sa commercialisation, etc. L’irrigation connaît un développement appréciable au Burkina depuis une décennie. En effet, la systématisation de la production en saison sèche est devenue une réalité. Les superficies irriguées, tous types confondus, sont passées du simple au double avec de nos jours près de 50 000 ha exploités. Toutefois, j’ai le sentiment que ce sous-secteur reste un vaste chantier où doivent s’exercer l’ingéniosité et l’engagement des techniciens et des organisations professionnelles pour lui donner plus d’efficience, en termes de rendement des spéculations exploitées et de valeur ajoutée de la production. Dans ce vaste chantier, l’organisation demeure une action prioritaire. Dans notre entendement, il ne sera pas question d’instituer un régime policier, mais d’intensifier la concertation, la sensibilisation et les formations, de veiller au respect strict des cahiers des charges qui seront relus.

La vallée du Sourou est dans une dynamique de production de deux campagnes par an et une troisième est en perspective. Cette intensification de l’utilisation des sols ne posera-t-elle pas un problème de fertilisation ?

C’est vrai, au Sourou la conduite d’une production en saison humide et d’une production en saison sèche est un acquis. La campagne humide est essentiellement consacrée à la production de maïs et de riz, tandis qu’en saison sèche, la vallée produit en plus de ces deux spéculations, des produits maraîchers dominés par l’oignon, la tomate et la pomme de terre. C’est aussi vrai que nous envisageons un deuxième cycle de production qui portera le nombre de campagnes de production à trois : une campagne humide et deux campagnes sèches. Il est évident qu’une telle intensité culturale exigée peut provoquer une chute de la fertilité des sols et un déclin rapide des rendements. Un suivi de l’évolution de la fertilité et le développement des stratégies de gestion intégrée de la fertilité des sols s’impose alors. Ces stratégies se baseront sur l’application des engrais minéraux et organiques, en combinaison avec des amendements localement disponibles, comme le Burkina phosphate. L’action la plus importante est la production et l’application de la fumure organique, en cours d’adoption à travers les enseignements de la GIPD, notamment le compostage en tas. Une analyse des sols sera également effectuée périodiquement pour déterminer les besoins apports en engrais.

L’expérience de l’installation des étudiants sur la Vallée a-t-elle été négative au point qu’on ne veuille plus recommencer ?

Si on devait recommencer cette expérience, on s’y prendrait autrement, pour avoir suffisamment tiré leçon des expériences passées. En effet, aujourd’hui, c’est quelque peu cette dynamique qui s’installe à travers la promotion de l’investissement privé, avec une production destinée au marché. La prise de conscience du nécessaire accompagnement de l’intensification agricole par la diversification et le développement des activités connexes telles que le transport, la conservation, la transformation et la commercialisation crée un environnement favorable à ce genre d’initiative. Nous sommes prêts à lancer de nouveau une telle action en relation avec le ministère chargé de la promotion des jeunes qui ne tarit pas d’idées et d’initiatives pour créer des emplois pour les jeunes, citadins comme ruraux.

Le déménagement du siège de l’AMVS à Niassan a-t-il engendré des difficultés ?

Plus d’un a applaudi cette décision de nos gouvernants de déplacer la Direction générale de l’AMVS à Niassan. Cette décision a été exécutée depuis le mois de janvier 2009. Le déménagement de toute l’AMVS à Niassan permet de renforcer le dispositif technique qui était déjà en place, notamment l’ancienne Direction de la mise en valeur (DMV). Cette présence se matérialise à travers la création de deux nouvelles directions techniques, notamment la Direction de l’appui à la production et à la professionnalisation agricole (DAPPA) et la Direction de la maintenance et entretien des infrastructures et équipements (DEMIE). La Direction des études et travaux (DET), précédemment Direction technique (DT), porte à trois, les directions techniques qui assurent une intervention de proximité sur le terrain. En outre, le dispositif d’encadrement et d’accompagnement a été renforcé en effectif. Aujourd’hui, nous disposons de dix conseillers agricoles contre six en 2005 et un seul en 2001. Avec dix agents d’encadrement, cela donne un ratio d’un agent pour 300 producteurs et pour près de 400 ha. Ces ratios vous donnent une ampleur de la tâche de ces agents, qui interviennent souvent sans moyens de fonctionnement. Les difficultés liées au déménagement ne manquent certes pas et nous avons besoin d’être soutenus pour les résorber. Ces difficultés sont essentiellement d’ordre logistique, matériel, financier et tout naturellement organisationnel.

Sur le plan organisationnel, l’audit de l’AMVS fera des propositions de réforme intentionnelles pour conforter les propositions du Conseil d’administration en cours d’application. Sur le plan logistique et matériel, l’AMVS a besoin de renforcer les capacités d’accueil en bureaux et en logements. Pour ce faire, en attendant la reconstruction du siège là où il sera le plus opérationnel, il est utile de renforcer la base vie à Niassan et à Sono pour tenir compte de la dynamique de progression des aménagements vers la Kossi, notamment avec le projet Dangoumana/BID. Dans ce même registre, les déplacements dans la capitale pour participer à des réunions, rencontrer les responsables hiérarchiques et les partenaires, régler des questions administratives, etc., sont devenus plus importants et exigent de disposer de matériel roulant en bon état et des ressources financières pour le fonctionnement. Parallèlement, la mise en place d’une antenne fonctionnelle est indispensable pour servir de relais et de porte d’entrée de l’institution à Ouaga.

Quelles sont vos attentes vis-à-vis des autres intervenants dans la région de la Boucle du Mouhoun notamment l’administration, les services techniques, la société civile et les hommes politiques ?

Les intervenants que vous citez sont tous des acteurs de la mise en œuvre du Plan stratégique de développement agricole durable de la Vallée du Sourou. L’Autorité de mise en valeur de la Vallée du Sourou est une structure fédératrice des interventions du secteur rural en particulier et de certains secteurs d’accompagnement. Dans la dynamique à venir, nous voulons un partage des rôles et une synergie d’actions. Pour terminer, je dirai que la Vallée du Sourou est une mine d’or pour le Burkina Faso. Les investissements qui y sont déjà réalisés doivent être consolidés. Nous partagerons la vision future que nous avons de cette région avec l’ensemble des acteurs courant premier trimestre 2010, à travers un plaidoyer pour le financement du plan stratégique et du premier plan d’actions, en organisant une table ronde. Je formule le vœu que les partenaires techniques et financiers accompagnent davantage le gouvernement pour faire de la Vallée du Sourou et de la haute Vallée du Mouhoun, qui est prise en compte dans le projet Samendeni, un pôle de développement socio-économique, un pôle de croissance pour le pays. Pour ce faire, les chaînons manquants restent les infrastructures routières, la desserte des réseaux de communication, l’électrification, indispensables pour valoriser et intensifier les investissements déjà réalisés.

Propos recueillis par Serge COULIBALY

Le Pays

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