Sous la thématique : La création d’emplois décents par la valorisation des compétences des jeunes s’est tenue la 3e édition du Forum National des Jeunes du 20 au 22 décembre 2007 sur le site du Salon International de l’Artisanat de Ouagadougou.

Ce forum organisé par le Ministère de la Jeunesse et de l’Emploi s’était fixé pour objectifs :
 Faire connaître au public les potentialités de la jeunesse du Burkina à travers une exposition de ses œuvres ;
 Faciliter les contacts entre les demandeurs d’emploi et les services privés et publics de recrutement ;
 Mettre les jeunes en contact avec les structures d’appui financier et de formation ;
 Contribuer à rendre visible les activités des institutions d’appui à la promotion et à l’employabilité de la jeunesse ;
 Rendre visible les initiatives socio-éducatives, économiques et culturelles des jeunes.

Ce forum a connu une forte mobilisation, plus de 2000 jeunes venus des 13 régions du Burkina ont échangé durant ces 3 jours et surtout ont visité la vitrine des compétences où ont exposé des structures d’appui, de financement de l’auto-emploi et de la formation professionnelle dont Yam Pukri.

A la cérémonie d’ouverture, Mr Justin Koutaba, Ministre de la Jeunesse et de l’Emploi dira dans son allocution que « pour une jeunesse burkinabé laborieuse, choisir son métier de demain ! », un slogan qui a eu un fort retentissement auprès des jeunes venus des quatre coins du Burkina durant tout le forum.

Les jeunes dont les moins de 24 ans constituent près de 60% de la population au Burkina Faso ont tous montré un véritable intérêt pour les formations en TIC et beaucoup ont visité le stand de Yam Pukri qui proposait plus de 20 modules en nouvelles technologies.

Yam Pukri a reçu les félicitations et encouragements du comité d’organisation lors de leur tournée, qui ont affirmé investir désormais plus dans le secteur des TIC car vu l’engouement des jeunes pour ce secteur, l’objectif principal qui est d’informer sur les différents métiers pour accrocher le public cible sera aisément atteint.

Vivement que ce genre d’initiatives se poursuivent et permettent à la jeunesse burkinabè d’avoir une meilleure information du monde de l’emploi et du travail, signes premiers pour une insertion dans la vie active.
Dieudonné LANKOANDE- Yam Pukri/ Bntic